Aucune preuve n’existe pour prouver que des musulmans ont perpetré le crime du 11 septembre 2001
Ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 a été un crime contre l’humanité : une tuerie préméditée de milliers de personnes innocentes. Je crois qu’aucune personne n’en doute. Il s’agit donc d’un crime qui touche toute l’humanité, vous, moi, tout le monde. Il est du devoir de chaque gouvernement de participer à la répression de tels crimes. Or les faits nous montrent que les gouvernements siégeant aux Nations Unies ont collaboré pour étouffer l’affaire.
Dans le cas du 11 septembre, il est du devoir du gouvernement américain d’établir la vérité sur des actes criminels, de déterminer l’identité des coupables et de les amener devant ses tribunaux. Or le gouvernement américain a fait tout son possible pour que la vérité sur ce crime ne soit pas établie. Le 12 septembre 2001, le ministre le la Justice américaine, John Ashcroft, a averti que la police fédérale ne devrait pas se pencher sur la solution du crime mais plutôt empêcher un nouvel attentat. Quatre semaines plus tard cet appel a été répété, ainsi que le New York Times nous le renseigne. L’enquête du 11 septembre fut nommée PENTTBOM. Ceux qui s’intéressent aux résultats de cette enquête devraient consulter la page web de la police fédérale (FBI) dédiée au PENTTBOM. Elle se trouve à http://www.fbi.gov/pressrel/penttbom/penttbomb.htm.
Que nous indique cette page?
Premièrement, que le FBI hésite toujours sur l’identité des coupables. Deuxièment, que le FBI n’a rien à nous apprendre sur son enquête. Les pages consacrées au PENTTBOM ne disent pratiquement rien. Troisièmement, qu’Osama bin Laden n’est pas nommé parmi les coupables.
Connaissez-vous un seul journaliste qui a simplement rapporté au public ces faits? Et pourquoi aucun gouvernement ne demande une explication pour ces faits incompréhensibles?
Les choses sont cependant bien plus graves que cela.
Mis à part une minorité de personnes qui se sont renseignées, peu de gens savent que le gouvernement américain n’a présenté à ce jour (juin 2008) aucune preuve soutenant sa légende selon laquelle des musulmans fanatiques auraient perpétré le crime du 11 septembre. On aurait pu s’attendre à ce que le gouvernement américain s’acharne à prouver ses accusations. Or même les documents les plus innocents et qui n’ont aucun rapport avec la sécurité nationale ou la lutte contre le terrorisme, n’ont pas été présentés au public, pour soutenir les accusations officielles.
1. Listes des passgers
Les noms des 19 arabes dits kamikazes ne figurent sur aucune liste officielle des passagers. Les autorités américaines refusent de présenter une copie certifiée qui conforme aux originaux des listes des passagers.
2. Les cartes d’embarquement
Nous savons tous que les noms de passagers figurent sur les cartes d’embarquement et que ces cartes prouvent qui a finalement embarqué dans un avion. Le gouvernement américain n’a jamais présenté la moindre carte d’embarquement des 4 avions dits détournés. Il ne s’agit pourtant pas d’un secret militaire mais simplement d’un document qui prouverait ce qui fut annoncé ouvertement au public.
3. Les témoignages sur l’embarquement
Pour chaque embarquement d’avion, nous rencontrons normalement deux employés de la ligne aérienne ou de l’aéroport qui détachent une partie de la carte d’embarquement et consultent nos cartes d’identité ou nos passeports. Dans le cas du 11 septembre on aurait eu au minimum huit personnes, deux pour chaque avion, en train d’observer l’embarquement de ces avions et qui se seraient vraisemblablement rappelées d’au moins quelques uns des passagers (et "kamikazes"). Or aucune de ces personnes n’a été interviewée ni par les médias ni par la police fédérale américaine ni par la commission d’enquête établie plus tard par le gouvernement américain. L’identité de ces employé(e)s reste un secret. On ne sait donc pas si quelqu’un a vraiment observé l’embarquement et si l’embarquement avait eu lieu, et si oui, dans quelles conditions l’embarquement aurait eu lieu. Le secret s’étend aussi à la porte de sortie. Les autorités américaines n’ont pas divulgué par quelle porte de sortie les passagers et les "kamikazes" ont embarqué.
4. Les documents visuels sur l’embarquement
On aurait pu s’attendre à ce que les aéroports américains soient munis de milliers de caméras de sécurité. Or selon nos connaissances aucun enregistrement n’existe qui documenterait l’embarquement dans les avions du 11 septembre. Un enregistrement a été distribué aux chaînes de télévision qui montre un des prétendus kamikazes passer la sécurité dans l’aéroport de Portland (Maine). Selon le récit officiel ce terroriste – Mohamed Atta – serait parti la veille de Boston à Portland pour retourner de là-bas le matin du 11 septembre avec un avion de correspondance avant d’embarquer dans l’avion à détourner à Boston. Aucune explication n’a été fournie pour ce détour de la part de ce "terroriste" qui aurait pu rater sa grandiose entreprise mortelle si son premier avion avait eu du retard. La plupart des téléspectateurs croient toujours que cet enregistrement prouve la véracité du récit officiel. Un autre enregistrement a été distribué aux chaînes de télévision en 2004 par un cabinet d’avocats privé. Cet enregistrement est censé nous dévoiler quelques uns des "kamikazes" en train de passer par le point de contrôle de la sécurité de l’aéroport de Washington (Dulles) avant l’embarquement du vol AA77 qui aurait percuté le Pentagone. Cet enregistrement ne peut pas être authentique car il ne montre ni la date et l’heure de l’enregistrement ni le numéro de l’appareil, ce qui permettrait de savoir où et quand l’enregistrement avait eu lieu. D’autre part, la luminosité de l’enregistrement suggère qu’il a été fait vers la mi-journée et non pas le matin vers 7 heures, lors de l’embarquement des avions du 11 septembre. Finalement, cet enregistrement flou ne montre que le passage par le contrôle de sécurité et non pas l’embarquement dans un quelconque avion.
5. Les restes des "kamikazes" au sol
Tandis que les autorités américaines prétendent avoir identifié positivement les corps ou restes sur terre de la plupart des passagers "innocents" et membres de l’équipage, ils ont déclaré que l’identification des restes des "kamikazes" se ferait par élimination : les morceaux de chair qui resteraient après avoir identifié les passagers (et l’équipage) seraient désignés comme appartenant aux "kamikazes". Aucun effort n’a été fait pour obtenir des familles des "kamikazes" des échantillons de comparaison qui auraient permis de déterminer l’identité de ces restes au sol. Dans un cas précis, les autorités américaines ont même rejeté l’offre d’une famille d’un prétendu kamikaze (Ziad Jarrah), de fournir des échantillons.
Les faits présentés ci-dessus peuvent être vérifiés par tout un chacun. Ils sont le résultat d’une recherche méticuleuse. Il est d’une importance capitale pour le droit, la démocratie et la paix, de constater qu’aucun gouvernement et aucun des médias établis n’a demandé au gouvernement américain de prouver ses accusations contre lesdits 19 kamikazes. Est-ce que ce manque d’intérêt se base sur une foi sans failles dans l’honnêteté du gouvernement américain ou y a-t-il des explications plus sinistres au fait que personne ne s’intéresse aux faits?
Elias Davidsson , 10 juin 2008